jeudi 30 décembre 2010
Que dire de nos nouvelles « prothèses numériques » ? D’abord qu’elles contribuent à développer la pratique de la lecture (et de l’écriture, à travers le courrier électronique et les blogs), puisque leur usage, du moins en matière de communication et d’accès à la connaissance, passe essentiellement par des textes. Ensuite, qu’elles peuvent, si elles sont bien utilisées, favoriser la curiosité et l’initiative, parce qu’elles offrent à la fois la liberté et l’interactivité. Les parents s’inquiètent à juste titre des risques liés à l’Internet – contenus suspects ou addiction aux jeux en ligne. Pourtant, dans l’ensemble, une heure à surfer sur la Toile n’est-elle pas plus positive qu’une heure devant la télévision ?
Favilla – Les Echos 30/12/2010