jeudi 10 juillet 2008
La santé, c’est le “silence des organes”. On redécouvre son corps quand il cesse d’être harmonieux, agile. La maladie modifie les perceptions. Tout est intensifié, le versant insoutenable de l’être comme celui du plaisir. Les expériences de la vie gagnent en intensité, parce qu’on doit les vivre plus vite entre deux orages.
Claire Marin – Etudes n°4091-2 p 47 2008
L’assertion n’est paradoxale qu’à première vue, tant elle éclate de vérité. Toute chose ne se révèle que par son manque, par un repère d’absence.
Commentaire by Gilbert — 10 juillet 2008 @ 7:33