jeudi 20 octobre 2011
J’ai réalisé que les patients avaient du mal à être considérés dans leur globalité d’individus. Ils sont encore trop souvent désignés par leur organe malade, c’est “le sein de la 15”. Par ailleurs, leurs droits au respect de la pudeur sont régulièrement bafoués.
Marina Carrère d’Encausse – médecin-journaliste – Revue Médecins n° spécial Sept-Oct 2011 p.32 – CNOM