jeudi 29 septembre 2011
Ce que nous appelons vitesse est en fait de la précipitation. Or la précipitation inhibe les changements profonds. Si bien que, loin d’avancer, nous faisons du surplace.
Jean-Marc Levy-Leblond – La Vitesse de l’ombre – éd. du Seuil
Pour Gilles Finchelstein, c’est très clair : « Le rapport que nous entretenons au temps est la grande pathologie de notre époque »
Lorraine Rossignol, La société malade de vitesse – p. 48, Télérama 28/09/2011