jeudi 5 mai 2011
Notre attitude à l’endroit de la vieillesse est plus paradoxale. Nous nous acharnons à augmenter notre espérance de vie mais sans aimer la vieillesse, perçue négativement comme un « problème » ou un « risque » contre lequel nous devrions nous prémunir. Nous souhaitons prolonger notre vie, mais à condition de pouvoir « rester jeunes » durablement.
Nathalie Sartou-Lajus – Etudes n° 4145 p.580 – mai 2011