jeudi 4 janvier 2016
(page 269 – La conscience affective – Ferdinand Alquié – Ed Vrin 1979.)
A-t-on assez remarqué que le mot impatience, qui devrait signifier, de façon générale, notre refus de subir un mal quelconque, ne désigne guère, dans le langage courant, que notre refus de subir ce mal particulier qu’est l’attente ? Ce que ne supporte pas l’impatience, c’est que dure le temps qui nous sépare de ce que nous désirons.
* : propos sans rapport avec la chose en question (Ety. Alibi, ailleurs et forain, étranger).