jeudi 27 septembre 2007
L’étatisme, qui consiste à réglementer l’ensemble des domaines de la société civile dans leurs moindres détails, vide le dialogue social de son contenu, entrave la concurrence et favorise la corruption. Le mélange de corporatisme et d’étatisme est au coeur du cercle vicieux de la défiance actuelle et des dysfonctionnements du modèle social.
YANN ALGAN – Echos, 25/9/2007, page 19