jeudi 20 octobre 2016
La culture de l’erreur protège du sentiment de l’échec. Chaque élève effrayé par les sciences devrait apprendre que le savant est d’abord quelqu’un qui sait se tromper, que le progrès scientifique n’est rien d’autre, comme l’explique Bachelard, qu’une succession de rectifications.
Charles Pepin – Les vertus de l’échec – p.34 – Allard Editions 2016