jeudi 5 juillet 2012
Notre société valorise de moins en moins le risque. En témoigne la difficulté pour les entrepreneurs à trouver de l’argent auprès des banques. Or, sans prise de risque, personne n’avance, ne crée ou n’innove. Le risque n’est ni un bien ni un mal, il est la composante même de ceux qui vont de l’avant.
Olivier Saretta – Enquête – Le grand frisson à la portée de tous – Supplément W – Express n°3181 20/6/2012